3 - les Boxsters

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Porsche Boxster

 

Aprés la décision de porsche d'arreter sa gamme de "transaxale" , la politique Porsche était de rediffersifier sa gamme en y intégrant de nouveau, un modèle d'entrée de gamme ...

 

En effet le nouveau souffle de la firme permmettait de ne plus tous axer sur sa 911 ...

 

 

Mais cette fois ci, les erreurs du passé à savoir l'image "négative" des ses 4 cylindres, Porsche décida de proposer une "petite" 6 cylindres, plutôt qu'un 4 cylindres , même si sa puissance est inferieure aux anciens 4 cylindres ( 204ch contre 211ch pour la 944S2 ou 241ch pour la 968 ( en 4 cylindres !!! ) ... )

 

 

De plus se 2.5 6cylindres coutait moins cher à produire et à concevoir que l'ancien trés technique 3.0 de la 968 ...

 

marketing,marketing, mais ca marchera ...

 

La famille de modèles était encore à l'étude en 1997 puisque le seul disponible était la Boxster sans autre désignation, dotée du tout nouveau moteur boxer à six cylindres refroidi par eau. Les 204 ch se font un jeu d'imprimer à cette voiture d'une tonne et quart une allure à même de défriser les moins chevelus des occupants !

 

Afin de réduire au maximum les frais de production de la Boxster, la construction fait appel en grande partie aux éléments de la nouvelle 911 (type 996) présentée en septembre 1997. Ainsi, l'avant de la Boxster est identique à celui de la 996, à quelques petits détails près.

 

La carrosserie autoporteuse en tôle d'acier entièrement zinguée masque un châssis déjà connu sur la 911 (type 993) à jambes élastiques à l'avant et à l'arrière. Le guidage des essieux s'opère par des bras transversaux et longitudinaux et par des stabilisateurs transversaux. Les freins à disques ventilés, aux imposantes mâchoires à quatre pistons, sont également de série de même que la direction à crémaillère assistée d'une grande sensibilité.

 

 

La Boxster écrit donc un nouveau chapitre de l'histoire de Porsche, un chapitre tel que les amoureux de la marque n'en avaient plus vécu depuis le spyder de James Dean ( 550 ... ) ou la VW/Porsche 914 : la grande série, des délais de livraison raisonnables et, surtout, une Porsche à 100 pour cent !

 

La Porsche Boxster est une si parfaite synthèse des vertus des premiers jours de Porsche et de la fraîcheur de pensée de la direction actuelle que les concurrents s'étranglèrent - mais pas de rire.

 

 

Des lignes fluides et typiquement Porsche, un poids réduit, le cœur au bon endroit, c'est-à-dire au centre ( precursseur ... ) , et une sonorité moteur enchanteresse, le tout proposé pour la moitié du prix d'une 911 !

 

Le plaisir de conduire ne souffre aucun compromis : la Boxster accélère comme une Porsche, embraye et passe les vitesses comme une Porsche, freine comme une Porsche. Ce n'est que pour les matériaux, particulièrement dans l'habitacle, qu'il fallut faire des concessions par rapport à la qualité habituelle d'une 911 ou d'une 928, mais pour 258 400 FF à l'époque, fallait pas en attendre beaucoup plus.

 

A nouveau une "petite"

 

La carrosserie autoporteuse en tôle d'acier entièrement zinguée masque un châssis déjà connu sur la 911 (type 993) à jambes élastiques à l'avant et à l'arrière. Le guidage des essieux s'opère par des bras transversaux et longitudinaux et par des stabilisateurs transversaux. Les freins à disques ventilés, aux imposantes mâchoires à quatre pistons, sont également de série de même que la direction à crémaillère assistée d'une grande sensibilité. La Boxster écrit donc un nouveau chapitre de l'histoire de Porsche, un chapitre tel que les amoureux de la marque n'en avaient plus vécu depuis le spyder de James Dean ou la VW Porsche 914 : la grande série, des délais de livraison raisonnables et, surtout, une Porsche à 100 pour cent !

 

 

Caractéristiques techniques

 

Boxster 2.5

 

Dimensions et poids :

Longueur 4,13 m ; Largeur 1,78 m ; Hauteur 1,29 m ; Poids 1250 kg.

 

Moteur :

Boxer six cylindres ; Alésage x course 85,5 x 72 mm ; Cylindrée 2480 cm3 ; Couple maxi 245 Nm à 4500 tr/mn ; Puissance 204 ch (150 kW) à 6000 tr/mn.

 

Performances :

 

Performances : ( à peu de chose prés equivalente à un TT 180 ... )

 

Vitesse Maxi : 237 Km/h

400m DA : 15 s.

Km DA : 27.7 s.

0 à 100 : 7.4 s.

80 à 120 en 4 : 8.3 s.

80 à 120 en 5 : 12.4 s.

400m de 40 en 4 : 18 s.

400m de 40 en 5 : 20 s.

Km de 40 en 4 : 31.8 s.

Km de 40 en 5 : 36.7 s.

 

NOVEMBRE 2003.

 

Série spéciale « 50 ans du 550 Spyder ». Basée sur le Boxster S avec une puissance portée à 266 ch, cette série adopte un châssis sport surbaissé, des voies élargies, des jantes spécifiques de 18 pouces, des étriers de freins de couleur aluminium et une teinte grise identique à celle de la Carrera GT. D'autre part, climatisation automatique et système audio de haut de gamme sont de série.

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Boxster 3.2 S

 

fin 1999 ( Octobre ... )

 

La version plus puissante tant attendue...

 

 

Elle est équipée d'un moteur de 3.2 litres de cylindrée (3179 cm3) toujours implanté de façon centrale arrière et refroidi par eau comme la version 2.5 dont elle est dérivée.

 

Ce moteur dispose d'un nouveau vilebrequin, de nouvelles bielles, sans oublier les pistons. On note la présence du Variocam, d'un nouveau système spécifique d'admission, du système E-gas: dispositif d'accélération électronique (déjà présent sur la 996 Carrera 4), d'un nouveau système de gestion électronique Motronic (M 7.2), d'un radiateur supplémentaire par rapport au 2.5 l (3 au total) et d'un circuit de refroidissement non plus unique en série, mais plusieurs en parallèle refroidissant ainsi d'une manière homogène le bloc moteur.

 

La puissance passe ainsi à 252 ch pour 6250 tr/mn, couple : 305 Nm pour 4500 tr/mn (limiteur de régime à 7200 tr/mn)

 

Soit ni plus ni moins, les mêmes caractéristiques que la 968 ...

 

Pour la boite, ce sera une 6 rapports comme la 968 (nouveaux carters, pont provenant de la 996) ou bien une Tiptronic S 5 rapports en option.

 

 

Coté suspension : celle ci a été revue pour améliorer la tenue de route et le placement dans les courbes : plus dure (nouveaux ressorts et nouvelles barres antiroulis), comme la 968CS ...

 

Pour les freins, 4 disques ventilés et percés de 318 mm de diamètre pour l'avant (28 mm d'épaisseur) et 299 mm pour l'arrière (24 mm d'épaisseur), le tout équipé d'étriers monobloc 4 pistons Brembo® et ABS dernière génération. Poids à vide: 1295 kg.

 

Performances :

 

Vitesse Maxi : 254 Km/h

400m DA : 14.5 s. ( Vitesse de passage : 163 Km/h )

Km DA : 25.9 s. ( Vitesse de passage : 206 Km/h )

0 à 100 : 6.1 s.

0 à 160 : 13.1 s.

0 à 200 : 22.2 s.

60 à 90 en 4 : 4.5 s.

60 à 90 en 5 : 5.8 s.

80 à 120 en 4 : 6.6 s.

80 à 120 en 5 : 8.6 s.

80 à 120 en 6 : 11.4 s.

80 à 150 en 5 : 14.8 s.

80 à 150 en 6 : 20.7 s.

90 à 120 en 4 : 4.6 s.

90 à 120 en 5 : 5.8 s.

90 à 130 en 3 : 5.2 s.

90 à 130 en 4 : 6.7 s.

90 à 130 en 5 : 8.7 s.

90 à 130 en 6 : 11.1 s.

400m de 40 en 5 : 17.4 s. ( Vitesse de passage : 128 Km/h )

400m de 40 en 6 : 19.2 s.

Km de 40 en 5 : 31 s. ( Vitesse de passage : 187 Km/h )

Km de 40 en 6 : 34.6 s.

Km de 50 en 4 : 26.9 s.

 

 

la Boxster S en manuelle equivaut alors à une 964 et la Tipronic à la 968 ( pile-poil )

 

 

Par rapport à la 2.5, l'équipement s'enrichit des airbags latéraux, d'une sellerie mixte tissu et faux daim synthétique, de cadrans blancs sertis d'une bague en aluminium, d'un volant à trois branches gainé de cuir, d'un système antivol et d'une télécommande des ouvrants.

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Boxster 2.7

 

 

Évolution logique de la "petite" 2.5 litres.

 

En effet la "faible" puissance de la Boxster commencait à faire grincer les dents des acheteurs, car les prix commencant à flamber et la concurrence s'étant reveillée, il fallait redonner un coup de Boost à ce modèle "prometteur" ...

 

Elle fait son apparition en fin d'année, comme la boxter S.

 

Le principal changement se situe au niveau du bloc moteur, La cylindrée passe de 2.5 à 2.7 litres (2687 cc ...) par augmentation de la course (de 72 mm à 78 mm).

 

Le bloc est également modifié, il est équipé d'un nouveau vilebrequin et de nouvelles bielles (les mêmes que le Boxster S).

 

 

La puissance ainsi obtenue est de 220 ch à 6400 tr/mn (couple: 260 Nm à 4750 tr/mn). La 2.7 est toujours équipée du système Variocam , mais on trouve aussi une injection Motronic de type ME 7.2 (intégrant un papillon de gaz motorisé).

 

 

Coté châssis, il est identique à la version précédente ( 2.5 ).

 

Coté transmission, on retrouve la boite 5 rapports d'origine Audi des versions précédentes, elle sera cependant retravaillée au niveau étagement (rapport de pont ... ), version dispo en tiptro en 5 rapports ...

 

Performances :

 

Vitesse Maxi : 248 Km/h

400m DA : 14.5 s.

Km DA : 26.7 s.

0 à 100 : 6.7 s.

0 à 200 : 27.9 s.

80 à 120 en 4 : 7.3 s.

80 à 120 en 5 : 11.1 s.

80 à 150 en 5 : 21.9 s.

100 à 140 en 5 : 12.8 s.

140 à 160 en 5 : 7.2 s.

140 à 200 en 5 : 29.6 s.

400m de 40 en 4 : 16.8 s.

400m de 40 en 5 : 19.2 s.

400m de 50 en 4 : 15.4 s.

Km de 40 en 4 : 30.4 s.

Km de 40 en 5 : 35 s.

Km de 50 en 4 : 28.8 s.

 

 

JUIN 2002.

 

Léger restylage de la face avant (bouclier et prise d'air redessinés). Le moteur 2,7 passe à 228 ch . La capote intègre une lunette en verre dégivrante (synthétique auparavant). Toutes les versions reçoivent un volant à trois branches gainé de cuir, de sièges en faux daim synthétique dans la partie centrale et des airbags latéraux.

 

Performances : ( equivalent a une TTQ 225 cab ... )

 

Vitesse Maxi : 242 Km/h

Km DA : 27 s.

0 à 100 : 6.6 s.

80 à 120 en 4 : 5.2 s.

80 à 120 en 5 : 7.3 s.

80 à 120 en 6 : 10.6 s.

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ces posts n'ont pas pour but de diriger les "gens" sur Porsche, mais de démistifier un peu ce mythe, ce sont des voitures comme les AUDI, sures, fiables et à l'image fabuleuse ...

 

je ne parle evidement que de la 968, car le sujet de la 987 est déjà bien traité sur le site ...

 

De plus ces posts on pour but ( primaire ... ) de donner le similaire chez Porsche à AUDI dans la gamme TT

 

SOurces : flat6legende, zeperfs, motorlegend, moniteur, automobile-sportive ...

 

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